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À MAGDEBOURG, LE PSYCHIATRE ÉTAIT SIPHONNÉ

Par 20 décembre 2024avril 15th, 2025No Comments

À MAGDEBOURG, LE PSYCHIATRE ÉTAIT SIPHONNÉ

Vendredi 20 décembre 2024, vers 19 heures, à Magdebourg (Sachsen-Anhalt), une voiture a foncé sur les visiteurs du marché de Noël de cette ville.

Bilan : cinq morts, deux cents blessés.

Le conducteur de la voiture est arrêté peu après et identifié : il s’agit d’un réfugié politique saoudien, qui exerce la profession de psychiatre dans un hôpital des environs.

L’auteur de l’infraction a déclaré qu’il était hostile aux extrémistes musulmans et qu’il voulait, en commettant cet acte, punir les habitants de cette ville parce que l’Allemagne, selon lui, n’aide pas suffisamment les réfugiés politiques d’Arabie Saoudite et n’expulse pas les salafistes hors d’Allemagne.

Après son audition par la police, il a été placé en détention provisoire.

Le médecin psychiatre militait dans une association qui aide les réfugiés politiques et demandeurs d’asile saoudiens dans leurs démarches administratives.

(Dans les mois suivants, d’autres infractions analogues ont été commises dans plusieurs villes d’Allemagne.)

Source :

  • Site web [https://]fr.wikipedia.org (article consulté le 26/12/2024)

On se doute un peu que l’Arabie saoudite n’est pas un pays ordinaire.

La peine de mort existe et elle est appliquée.

Les coutumes de l’Arabie Saoudite sont très différentes du mode de vie des Européens. Les habitants de Magdebourg sont-ils responsables de cette différence ?

Le psychiatre saoudien habitait dans les environs de Magdebourg.

Était-il atteint de troubles mentaux irréversibles ? Était-il dangereux pour lui-même et pour autrui ? Avait-il été expertisé par les psychiatres amateurs du commissariat de Maisons-Alfort ?

Il n’avait pas participé auparavant à des infractions criminelles, comme le font ses confrères les psychiatres français, spécialisés dans la séquestration, les faux en écritures publiques et les faux témoignages dans des procédures judiciaires. Un exemple : un habitant de Maisons-Alfort a été placé en garde à vue du 23 mars 2004 au 9 septembre 2004, avec la complicité d’une dizaine de médecins, parmi lesquels on peut citer Denis ARCHAMBAULT, rémunéré (en 2004) par l’hôpital Jean Verdier en Seine-Saint-Denis et Stéphane HAUTECOUVERTURE, rémunéré par l’hôpital Albert Chenevier dans le Val-de-Marne.

On dirait que les psychiatres doivent être surveillés de près.

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