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Revue de Presse

La pollution invisible des ondes électromagnétiques

Par 4 février 2017juin 7th, 2019No Comments

« La pollution électromagnétique de la société de l’information est invisible et inodore », mais les conséquences sur la santé des êtres humains est mal connue, expose un professeur de droit dans cet article.
Les études réalisées jusqu’à présent s’efforcent surtout de cerner les risques d’apparition de cancers. Il existe cependant un « syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques », aussi appelé « électro-hypersensibilité » (E.H.S.), qui résulte d’une exposition durable à des niveaux élevés d’émissions. Les personnes exposées suffisamment longtemps à des niveaux élevés deviennent ensuite vulnérables à des niveaux d’émissions beaucoup plus faibles. La vie quotidienne devient alors un supplice pour ces personnes.
Selon cet article, l’Agence nationale des fréquences (A.N.F.R.) aurait été chargée de recenser « les lieux où le niveau d’exposition du public aux champs électromagnétiques dépasse substantiellement celui généralement observé au niveau national ».

Source :

  • Le Monde diplomatique (février 2017 – page 16)
  • Environmental Health (vol. 30, n° 4, Londres, 2015)

Comme le montrent les courriers datés du 20 décembre 2000 et du 24 avril 2001, le « recensement » confié à l’A.N.F.R. ne concerne pas la commune de Maisons-Alfort, où se trouve pourtant le siège social de l’A.N.F.R., et c’est vraiment regrettable.
Il est encore plus regrettable que les lois en cours d’élaboration, dans le but de protéger la population qui réside en France par application du principe de précaution, ne seront pas applicables aux installations spécifiques du lobby militaro-policier, puisque ces équipements sont protégés par le secret-défense, surtout à Maisons-Alfort.
On devine qu’à Maisons-Alfort, la ville où il fait bon vivre, la fameuse commune où les services de sécurité respectent scrupuleusement la légalité (surtout avenue Blum), aucun citoyen français ne serait exposé pendant seize ans à des niveaux élevés d’émissions, de manière délibérée, avec la complicité de tous ses voisins. (De même, les gardes à vue de six mois et les coups de poing au thorax sont inconnus à Maisons-Alfort).

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